Une étude internationale impliquant des chercheurs du Wisconsin, d’Espagne et de France a mis en lumière des changements moléculaires dans le corps après une session de méditation consciente. Les participants ont été divisés en deux groupes : l’un composé de méditants expérimentés pratiquant huit heures de méditation intensive, et l’autre de non-méditants engagés dans des activités calmes. Les résultats suggèrent que la méditation pourrait influencer les gènes.
La méditation influence-t-elle vos gènes ? Analyse des recherches scientifiques
L’étude révèle des résultats surprenants : les méditants affichent des différences notables au niveau génétique et moléculaire. Parmi celles-ci, on observe une régulation modifiée des gènes et une diminution des gènes pro-inflammatoires. La récupération physique après un stress est plus rapide. Ce constat, selon les chercheurs, démontre pour la première fois des changements rapides dans l’expression génétique chez les pratiquants de la méditation. 🧘♂️.
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La méditation présente des effets bénéfiques sur les troubles inflammatoires, en influençant l’expression de certains gènes. Parmi eux, on retrouve les gènes RIPK2 et COX2, ainsi que ceux liés au cortisol, qui jouent un rôle dans la gestion du stress social. Ces changements génétiques, observés uniquement chez les méditants, ne s’appliquent qu’à court terme, mais montrent une dynamique intéressante de l’expression génique. Cette découverte offre un potentiel pour utiliser la méditation dans le traitement des affections inflammatoires chroniques. Poursuivre ou débuter la méditation de pleine conscience pourrait donc être bénéfique pour votre bien-être.
